Candice m'emmena à entrer dans ma voiture, je me précipitai pour faire tomber mon petit sac de cocaîne sans qu'elle le voit. J'étais désespéré ou quoi? C'était quoi mon problème là de pleurer comme une gonzesse? Il est clair que j'avais des sentiments pour Candice après tout ce qu'elle m'avait fait.

-Tu crois que j'ai vraiment eu des petits amis moi? ce n'étaient que des passades jusqu'à ce que tu entres dans ma vie .Je te veux aussi, je me fichais des autres garçons. Toi seul m'importe, mais je pensais que tu n'avais rien à faire de moi. Je suis aussi nulle que toi. Je resterai avec toi jusqu'à ce que tu ne veuilles plus me supporter.

Nous nous embrassâmes tout doucement comme si nous n'avions plus rien à faire de tout le reste. Elle démarra ma voiture, j'en fus surpris.

-Partons d'ici, demain est un autre jour...

- Ouais, foutons le camp.

Tout était devenu silencieux et au bout de deux minutes, sans m'y attendre. Candice me fit sa déclaration.

-Olivier? Tu sais quoi? JE T'AIME! m'avoua-t-elle avant de se blottir contre moi.

Je souris, c'était une première ce soir je crois bien. Je freinai subitement en faisant crisser les pneus. Je m'arrêtai dans un petit chemin dans le boisé. Candice se demandait ce que je faisais. C'est à ce moment là que je lui sautai dessus et commençai à l'embrasser partout et la déshabiller sauvagement. C'était de l'amour après tout. Je retrouvai donc rapidement ma chère Candy en soutien-gorge et mes mains se baladèrent vers son entre-jambes sous sa robe. Candice défit mon pantalon et j'enlevai alors mon t-shirt et ma veste d'une rapidité incroyable que je me cognai bien partout... disons qu'une voiture n'est pas l'endroit le plus grand qui soit. Nous baissâmes nos sièges et nous recommençâmes à nouveau à nous embrasser commes des damnés. Je m'en foutais bien que mon nez me fasse souffrir, je n'avais qu'envie de Candice. Une fois qu'elle fut sur moi, je paniquai, je me rappelais bien de l'incident la dernière fois.

- Écoute je suis pas un mauvais baiseur rien de là, la dernière fois c'était pas supposé être comme ça.

J'avais des préservatifs dans mon coffre à gants, mais là je voulais bien performer.

Je vis Olivier sourire, comme heureux que je lui avoue mes sentiments. Il ne me rendit pas mon je t'aime, mais je ne m'y attendais pas le moins du monde! Il avait déjà fait des efforts considérables quelques heures auparavant. Il avait fait avancer les choses et je ne 'en remercierai jamais assez.

Il freina brusquement comme s'il avait analysé et engrangé les paroles que je venais de lui déclarer. Il s'arrêta sur un sentier au milieu du bois entre Forks et Port Angeles.

Je commençais à m'inquiéter de sa réaction

-Qu'est ce qui te prend? demandais je un peu inquiète.

Sans prendre le temps de répondre, je compris rapidement ce à quoi il pensait. Il me sauta littéralement dessus et commença à déchirer sauvagement ma robe à 5000 dollars. je m'en contrefichais. Seule importait Olivier, ses mains, son odeur et sa tendresse.
Alors que sa main se faisait baladeuses j'entrepris de dégrafer son pantalon tout en continuant à l'embrasser avec passion.Il enleva pendant ce temps ce qui lui restait de vêtement. Le climat de la voiture se réchauffait de plus en plus et la buée commençait à se former sur les vitres.

Olivier baissa les sièges de sa voiture pour nous mettre plus à l'aise. Nos baisers étaient de plus en plus passionnels et amoureux. J'avais peur de blesser le nez d'Olivier mais il ne semblait pas s'en soucier.

Je le plaquais finalement contre le dos et était à califourchon sur lui lorsqu'un regard de panique traversa ses yeux.

- Écoute je suis pas un mauvais baiseur rien de là, la dernière fois c'était pas supposé être comme ça. me dit il avec angoisse.

Je souris. Et lui caressa tendrement le visage avant d'ajouter une réponse:

-Ne t'en fais pas, je sais que tu n'es pas un "mauvais baiseur", comme tu le dis. Et nous le ferons jusqu'à ce que tu réussisses comme il se doit.
Je te l'ai dit Olivier, je t'aime.

Je continuais à l'embrasser sans qu'il puisse placer un mot. je sentis que l'excitation d'Olivier remonta, pas seulement dans ses baisers mais aussi sous son caleçon. J'entrepris de le mettre un peu plus en forme en y glissant ma main avec ardeur.

En l'embrassant, nous jouions l'un et l'autre avec nos langues. Sachant que nous étions tous les deux prêts, j'enlevais ce qui lui restait de vêtements: son boxer.

-Tout va être parfait, lui murmurai je au creux de l'oreille.

-Ne t'en fais pas, je sais que tu n'es pas un "mauvais baiseur", comme tu le dis. Et nous le ferons jusqu'à ce que tu réussisses comme il se doit.
Je te l'ai dit Olivier, je t'aime.

- Non parce que c'est bien la première fois que ça arrivait alors ça ne devrait plus se reproduire.


Je tenais tellement à m'expliquer, c'était mon orgueil qui était en jeu et je n'avais pas cette réputation de beau gosse pour rien. Candice avait l'air confiante, ce qui était génial, mais là je n'allais pas arrêter de penser à ma performance, car je voulais vraiment lui montrer ce que j'étais capable de faire. Candice glissa sa main dans mon caleçon pour rehausser ma fierté. Je caressai son corp sublime, ses seins étaient de vrais merveilles. Ma bouche atteignit sa poitrine et je suçai le bout de ses seins et en lèchant sa poitrine tout mielleusement.

-Tout va être parfait

Candice m'enleva mon boxer et je continuai mon parcours sous sa robe à moitié défaite, j'aimais bien la soulever pour m'y glisser, c'était attirant, très sexy. Après des préliminaires plutôt satisfaisants, Candice m'aida à mettre un préservatif, puis sans attendre je glissai en elle, tout était une question de self-control maintenant. Nous changeâmes plusieurs fois de position, car la voiture n'était pas très confortable, mais la passion y était, nous nous rendîmes pas bien compte de notre inconfortabilité. J'essayai de me concentrer le plus possible... dire que pour un hyperactif la concentration n'est pas ce qu'on arrive à faire de mieux, mais ça marchai. Je fis des va et vient avec mon bassin. Candice poussa de petits cris agréables et j'en fis autant. Finalement je m'en sortais plutôt bien. Nous atteignîmes vite l'orgasme, car sous l'excitation du moment c'était impossible de faire plus long. L'important c'était son plaisir à elle. Une fois terminé, nous restâmes collés un moment.

- Pas mal du tout...

Je me mis à rire, c'était bien la première fois que ça m'arrivait de rire comme ça après une baise.... Qu'est-ce que j'étais devenu? En tout cas, moi ça me plaisait tout ça et je sais pas mais avec Candice c'était différent. Je ne pouvais pas la classer le panier "petite amie" car ça me faisait trop bizarre d'un coup, mais quelque chose me disait qu'il y avait une première à tout.

- J'aime être avec toi! Tu es imprévisible!

Je l'embrassai et ris à nouveau. C'était un beau moment, j'en oubliai même mon nez cassé.

Les préliminaires étaient plus que satisfaisants, mon plaisir fut décuplé et je languissais de voir la suite .
J'espérais que nos ébats se passent cette fois-ci sans encombres. Nous jouions notre futur et notre relation déjà bancale.

Olivier sortir un préservatif de sa boite à gant et je lui mis moi même en faisant attention de ne pas faire trop d'effet à mon apollon. Candice m'enleva mon boxer et je continuai mon parcours sous sa robe à moitié défaite, j'aimais bien la soulever pour m'y glisser, c'était attirant, très sexy. Sans attendre, il se glissa en moi et nous ne fîmes plus qu'un.
Rapidement nous essayèrent toutes les positions les plus connues du Kamasutra, essayant tant bien que mal de trouver du confort dans la petite voiture d'Oli.

Le lieu, l'endroit, les circonstances faisaient que la passion et le désire étaient décuplés. Nous étions comme coupés du monde extérieur, une bulle qui jamais ne s'exploserait. J'atteins rapidement le summum du plaisir et laissai échapper un petit râle de bonheur. Il laissa lui aussi relâcher la pression. Nous avions réussi magnifique et passé le test. Nous restâmes collés et lui en moi un moment après le septième ciel. J'aimais le sentir proche de moi. Je n'aurai pas apprécié que quelque chose brise ce moment.
Soudain Olivier murmura à mon oreille.



- Pas mal du tout...

Je fis oui de la tête. Il se mit à rire, je le suivis dans son rire en le regardant. Je passais ma main sur son visage. Je riais de bon coeur. La situation était cocasse mais hors du commun. J'aimais ça plus que tout.
Il continua
- J'aime être avec toi! Tu es imprévisible!

Je l'embrassais avec passion. Le désir remonta soudain en moi.

-Humm, dis je en passant ma langue sur mes lèvres. C'est moi qui t'aime. J'aime surtout ton corps, dois je dire, plaisantai je.
J'aime te sentir près de moi, déclarai je, un regard de tigresse au fond des yeux.

Sans qu'il s'y attende je descendis de nouveau à hauteur de son pénis pour lui faire la fellation de sa vie. Alors que je m'y attelais, une lumière aveugla l'habitacle de la voiture.
Des policiers qui faisaient une ronde nous avaient interrompus.

-Vous ne pouvez pas restés stationné là! dit l'un d'eux.

Les autres rigolaient bêtement. Je me sentais parfaitement idiote et honteuse. je me rhabillais rapidement.

-Et les amendes pour exhibitionnisme ça existe, ajouta un autre.

Je rougis.

Un troisième me fit un clin d'oeil avant d'ajouter:

-Hey poupée tu prends combien, pour faire ce que tu viens de faire.

Je regardais Olivier, je ne savais pas quoi faire ni même comment réagir...

-Humm, C'est moi qui t'aime. J'aime surtout ton corps, dois je dire, J'aime te sentir près de moi.

- Même chose bébé, tu peux pas savoir!

Bon alors, j'avais assuré, c'était tout ce qui comptait vraiment. En plus Candice était folle de moi alors j'étais plutôt safe. Je me sentais bien tout bien collé à elle. Elle était surprenante surtout quand elle me bombarda de baiser mon torse et descendit en bas de la ceinture.

- Hoo ça c'est un coup bas mademoiselle Favre! Continuez je vous en pris.

Comment refuser un tel délice? Je mis mes bras derrière la tête et alors que Candice mit ma queue dans sa bouche et qu'elle pompa tout doucement. Je fis un énorme saut où je me cognai la tête quand une lumière vint nous éclairer... Je pris la quatrième vitesse pour couvrir ma nudité. Nous nous rendîmes bien compte qu'ils étaient une bande de policiers. Rien de très réjouissant dans mon cas.

-Vous ne pouvez pas restés stationné là! dit l'un d'eux.

- Ouais, on s'en allait justement...

Comme si c'était vrai.... on venait t'interrompre ma superbe fellation. Bordel, j'avais pas de chance. Candice se rhabilla comme elle le pu, elle était devenue écarlate et ne disait plus un mot. Les autres policiers rigolèrent, je savais bien qu'ils avaient apprécié le spectacles ces gros cochons pourris.

-Et les amendes pour exhibitionnisme ça existe.

- On pensait être bien caché, on se barre là.

Le policier du côté de ma copine paraissait bien étrange, alors que je fini par retrouver mes boxers, je les enfilai comme jamais je l'avais encore fais.

-Hey poupée tu prends combien, pour faire ce que tu viens de faire.

Avais-je vraiment bien entendu? C'était quoi son problème. Candice ne trouvait vraiment pas ça drôle.

- Heyyy on la lâche, c'est quoi votre problème? Retournez jouer avec vos bites molles et laissez-nous tranquille.

Bon c'était peut-être des mots en trop, mais là je ne pouvais pas laisser faire ça. Le policier avait changé d'air et maintenant il allait bientôt s'attaquer à moi alors je fis démarrer le moteur.

- Écoutez-moi jeune homme, je peux vous faire coffrer pour les mots que vous dites alors...

- ÉCoutez-moi monsieur l'agent, vos propos étaient plutôt humiliant et rabaissant alors on lâche ma copine et je tiens ça mort moi avec.

Il se recula et j'en profitai pour déguerpir le plus vite possible de cet endroit infecté de policiers pervers. Non mais c'était quoi les chances pour qu'ils tombent sur nous? J'avais vraiment la malchance après moi. Je roulai maintenant en direction de Forks, nous avions assez vécu d'aventures pour ce soir.

- Désolé Candice, vraiment... Non mais j'ai jamais vu ça.... des policiers bordel!

Je tapai sur le volant, j'étais frustré, s'En prendre à moi ok, mais à Candice, là ça avait été trop loin.

Plus le temps passait plus je découvrais un Olivier que je n'aurai imaginé qu'en rêve. Il était tendre, doux, romantique et amoureux.
Au moment, où je tenais le plus à lui faire plaisir il ne sut que répondre. Il semblait apprécier mes compétences et un sourire se dessina alors sur mon visage.

- Hoo ça c'est un coup bas mademoiselle Favre! Continuez je vous en pris.

Il positionna ses bras derrière sa tête, il était détendu et heureux aux vues du sourire qui se dessinait sur son visage. .
Les forces de l'ordre s'en mêlèrent et Olivier eut tellement de répartie que j'en fus surpris il se contenta de leur dire que nous décampions le plus rapidement possible.

- Ouais, on s'en allait justement...

L'autre policier qui s'était adressé à moi de manière impolie fut aussitôt recadré par mon "amoureux". Pouvais je vraiment utiliser ce terme? Étions nous vraiment un couple? Olivier ne se foutait il pas encore de moi. Des questions venaient me taraudaient mais ce n'était ni l'heure, ni le moment. Les paroles d'Olivier me ramenèrent à la réalité.

- Heyyy on la lâche, c'est quoi votre problème? Retournez jouer avec vos bites molles et laissez-nous tranquille. ÉCoutez-moi monsieur l'agent, vos propos étaient plutôt humiliant et rabaissant alors on lâche ma copine et je tiens ça mort moi avec.

Je ne pense pas que les policiers apprécieraient de telles représailles. Je pensais que nous allions encore nous mettre dans une situation cocasse quand Oli fit vrombir le moteur et s'en alla sur les chapeaux de roue. Je remontais une dernière bretelle qui tombait.

Je lâchais un soupir, j'étais soulagée. Il roula en direction de Forks et j'approuvais totalement son choix. Je le lui montra en déposant ma main sur la sienne qui tenait avec énervement le pommeau de vitesses.
Il s'adressa soudain à moi:
- Désolé Candice, vraiment... Non mais j'ai jamais vu ça.... des policiers bordel!

Dans son énervement il tapa sur le volant. Je souris bêtement de la réaction qu'il avait eu. Il était finalement protecteur envers moi. J'aimais cette nouvelle complicité qui s'était développée entre nous. Olivier était différent et cette nouvelle personne me plaisait.
J'avais de la peine de penser qu'il ne faisait plus parti du groupe par ma faute.

-Je suis désolée, tu sais... dis je doucement.
Pour tout ce qui est arrivé par ma faute, je te promets d'essayer de tout arranger avec Adam.

Je ferai tout mon possible pour qu'Olivier soit repris au sein du groupe et retrouve sa place de joueur de guitare qu'il méritait tant.
Nous roulions toujours et avions atteint Forks, je tapais un texte sur mon téléphone et l'envoyais à Adam.
je fis signe à olivier de se diriger par chez moi.

-Mes parents ne sont pas là, l'informais je. Que dirais tu de finir notre soirée tous les deux?

Nous étions toujours en route vers Forks... Candice semblait également désolée pour ce qui venait de se passer, c'était du n'importe quoi. c'est juste à moi que ça arrivait des choses bizarres comme ça. Cependant, Candice crut bon d'en revenir avec Adam. Si au moins elle avait pu faire ce coup à Liam, ça m'aurait permis de jouer, mais tant pis.

Je suis désolée, tu sais... Pour tout ce qui est arrivé par ma faute, je te promets d'essayer de tout arranger avec Adam.

- Bah... regarde j'ai pas être un ange Candice et tout n'arrive pas pour rien.... Je connais Adam mieux que personne, nous sommes allés au jardin d'enfants ensemble et nous avons toujours été des amis et là c'est pas une petite dénonciation qui va tout briser, il lui faut du temps à mon avis. Il n'est pas vite vite pour le voir encore que je suis trop important dans sa vie pour qu'il me vire comme ça.

Nous roulâmes encore quelques minutes avant d'arriver chez Candice, je me garai dans l'entrée. Je l'embrassai à nouveau.

- Mais ça ne m'empêchera pas de lui casser la gueule pour m'avoir fait ça.

Je montrai mon visage, à cause de lui j'étais presque méconnaissable et j'avais l'air d'un vrai handicapé.

-Mes parents ne sont pas là. Que dirais tu de finir notre soirée tous les deux?

- Très bonne idée, j'en aurais très envie, mais je dois..... je levai les yeux au ciel..... Accompagné ma famille aux pommes demain matin de bonne heure et puisque c'est une tradition, je n'ai pas vraiment le choix, mais on peu se voir après si tu veux ma belle.

Je l'embrassai en prenant bien soin d'insérer ma langue dans sa bouche et de la faire tournoyer avec la sienne. C'était fou comme je me sentais étrange avec Candice, j'étais heureux d'être avec elle. Je crois bien que c'était bien la première fois que je me sentais aussi bien avec une fille. D'habitude, je les sautais et après bye bye, mais là c'était plus qu'une histoire de baise à mon avis. Elle avait un petit quelque chose de spécial qui m'hypnotisait qui me laissait accrocher à elle.

- Merci pour cette belle soirée! On se voit demain.


Je la saluai une dernière fois avant de reculer et de repartir pour de bon chez moi.... pour la cueillette de pommes qui allait arriver dans 4 heures... - __ -

Olivier tenta de me rassurer du mieux qu'il put... Et pourtant, je n'étais toujours pas au mieux de ma forme.

- Bah... regarde j'ai pas être un ange Candice et tout n'arrive pas pour rien.... Je connais Adam mieux que personne, nous sommes allés au jardin d'enfants ensemble et nous avons toujours été des amis et là c'est pas une petite dénonciation qui va tout briser, il lui faut du temps à mon avis. Il n'est pas vite vite pour le voir encore que je suis trop important dans sa vie pour qu'il me vire comme ça.

Je ne dis rien pendant quelques minutes sachant qu'Olivier n'avait pas complètement terminé ce qu'il avait à dire à propos de ce connard d'Adam qui m'avait déjà proposé un marché. Coucher avec lui en échange d'Olivier dans le groupe.Nous roulâmes encore quelques minutes avant d'arriver chez Candice, je me garai dans l'entrée. Je l'embrassai à nouveau.

- Mais ça ne m'empêchera pas de lui casser la gueule pour m'avoir fait ça. dit il en montrant son nez cassé.

J'y déposais un doux baiser avant d'ajouter:

-D'accord je comprends bien tout ce que tu me dis. Mais des fois les réconciliations arrivent plus tôt que prévu..., déclarais je en laissant ma phrase en suspend.

Nous étions arrivés devant ma porte. Il était déjà 3h du matin et le dimanche s'annonçait être une longue journée ennuyeuse si Olivier ne la passait pas avec moi. Ce qui fut le cas.

- Très bonne idée, j'en aurais très envie, mais je dois..... je levai les yeux au ciel..... Accompagné ma famille aux pommes demain matin de bonne heure et puisque c'est une tradition, je n'ai pas vraiment le choix,


Je fis une moue boudeuse de cette nouvelle, mais Olivier devait honorer les traditions familiales. Je réfléchis un instant..

-Tu as raison, tu dois aller aux pommes avec ta famille! Tu vas bien t'amuser, tu seras avec ceux que tu aimes. Si tu veux je serai à la maison mais relativement tard, j'ai promis à une amie de passer une bonne partie de la nuit avec elle. Elle déprime un peu.

J'espérais qu'Olivier se fasse prendre au jeu et crois toute ma manigance. Je voulais le voir heureux et j'aurai tout fait pour cela, même quite à tuer quelqu'un. Ce que j'allais faire était pire: se prostituer...

Alors que mes pensées m'occupaient l'esprit il m'attira à lui pour m'embrasser avec passion, faisant parcourir sa langue dans ma bouche. Nous ne faisons plus qu'un. J'aurai aimé que cette instant n'en finisse pas. Je passais ma main dans ses cheveux et la fit courir sur son visage pour finir par arriver sur le torse que je ne lâchais plus. Si Olivier n'avait pas eu d'obligations, j'aurai continué mon approche charnelle mais je me repris et commençais à ouvrir la portière.

- Merci pour cette belle soirée! On se voit demain, me dit il avec un sourire.

-Merci à toi, à demain ma beauté! répondis je.

Je lui fis un signe de la main et lui lançais un baiser jusqu'à le voit disparaitre au coin de la rue. Mon coeur battait encore la chamade de cette soirée. Je rentrais le sourire aux lèvres et me mit au lit.