- Notre enquête étant notre seule et unique couverture, il faut au moins que je te tienne au courant de ce que j’ai fait depuis que j’ai passé le pas de ta porte.

J'étais soulagée qu'il ne revienne pas sur le bleu en question. Je préférais le tenir éloigné de cette histoire, comme j'aurais également préféré qu'Ashley ne baigne pas la dedans non plus. Il se leva et alla prendre sa pochette. Je me relevais et m'assis alors sur le lit pour en vérifier le contenu. Il vint s'assoir à mes côté avant de me tendre quelques rapports.

- Pendant mes quelques jours à New-York, j’ai vu l’un de mes meilleurs amis qui est zoologue au zoo de New-York. Autant te dire qu’il connait à peu près toutes les espèces animales vivantes sur cette Terre. Je sais que je peux lui faire totalement confiance. Lui aussi trouve ses traces assez étranges. Il dit qu’elles ont la forme des loups et la taille des ours. Et avant de venir à Forks, je me suis arrêté dans un bar à Port Angeles. J’y ai rencontré une femme, Rose Cullen. Elle ne m’a rien dit de sûr et vérifiable, et je ne sais pas si nous pouvons nous appuyer sur ce qu’elle à dit, mais elle a parlé de rumeurs à propos de loups, et de vampires. Pour elle, c’est un psychopathe qui est derrière tout ça, et elle a essayé de m’en convaincre. Toi, qu’est-ce que tu en penses ?

Je jetais un coup d'oeil aux documents en question. Pour moi tout était clair, plus que clair d'ailleurs. J'aurais sans doute préféré ne rien savoir. L'existence des vampires et des loups étaient maintenant une évidence pour moi, même si à première vue cela pouvait paraître totalement fou. Je savais que Bradley risquait gros s'il découvrait quoique se soit. Tout comme moi d'ailleurs. Mais les preuves étaient là, et il était maintenant impossible de faire marche arrière. Toutefois, je préférais me taire. Je ne me voyais pas vraiment lui avouer que je côtoyais ce genre de "légendes vivantes" à longueur de journée, et que les bleus sur mon corps avaient été occasionnés par un loup justement. C'était absurde et il me prendrait certainement pour une folle.

Quoiqu'il en soit, cette Rose avait raison de vouloir l'orienter sur une autre piste. S'il creusait au mauvais endroit, il n'aurait aucun ennui et serait alors en sécurité. C'était préférable.

- Et bien, elle a peut-être raison... dis-je sur un ton pas très convaincant.

Il se le leva et commença à faire les cents pas dans la chambre, tandis que je continuais à lire le dossier.

- De toute façon, on voit que la plupart des affaires se concentrent sur Forks et Port Angeles, on est de toute façon au bon endroit. Après, je ne sais plus vraiment par où chercher. J’aurais voulu revoir cette Mme Cullen, mais je n’ai rien d’autre que son nom, je ne sais même pas où elle habite … Est-ce que tu as déjà entendu ce nom quelque part ?

Cullen.. Cullen, j'avais lu ou entendu ce nom quelque part auparavant.

Bradley se tourna une fois de plus vers moi. Les indices étaient bien là, mais il fallait avouer que c'était assez étrange de croire en ces choses la. Il semblait être quelqu'un d'aussi rationnel que moi. Enfin... j'avais laissé ma rationalité au placard après avoir apprit pour Tay' et pour Pete également. J'avais maintenant presque peur de sortir en ville. Non, mais c'est vrai, c'était affolant que ce genre de créature existait autour de nous sans que personne ne le sache.

- Et puis, des loups-garous et des vampires, on aura vraiment tout vu !

Je retrouvais enfin la mémoire. J'étais trop jeune pour un alzheimer.

-Cullen! Mais oui bien sûr... je ne me souvenais plus vraiment où j'avais pu rencontrer ce nom. Je viens d'avoir enfin une illumination. Il me semble avoir lu une pancarte indiquant un Dr Cullen à l'hôpital de Forks. Oui.. j'en suis certaine maintenant. J'ai totalement oublié le service dans lequel il travaille, mais ce nom n'étant pas des plus communs ici, je suppose qu'ils sont de la même famille.

Je replongeais alors mon nez dans les diverses feuilles que je tenais dans les mains. Certaines photos étaient si choquantes que je grimaçais en les regardant. Comment pouvait-on tuer de cette manière?! Les victimes devaient souffrir le martyre.. c'était totalement inhumain. Les meurtres étaient commit de sang froid, et depuis quelques jours, j'avais l'impression que les journaux ne mentionnaient que ça.

- La plupart des tueurs ont une façon bien précise d'agir. Ici, visiblement, tout le monde peut devenir une victime.. femmes, hommes, enfants, vieillards. Nous sommes tous concernés. Puis, les meurtres sont de plus en plus fréquent depuis quelques jours. Sortir en ville devient presque flippant. Ce ne peut pas être l'œuvre d'une seule personne.

Je relevais alors le visage vers lui.

- Tu as été voir les cadavres?! Enfin... je veux dire, tu as parlé aux légistes qui se chargent de ces affaires?! Je ne sais pas s'ils te diraient beaucoup de chose. Je pourrais toujours essayer d'user de mon charme sur l'un d'eux, dis-je en riant. Il est possible que quelque chose nous échappe. Il faudrait parvenir à comprendre comment on peut vider ces corps de tout leur sang. Peut-être qu'ils ont une explication un peu plus rationnelle que la notre. Les vampires expliqueraient ces meurtres, mais c'est tellement... improbable.

Je déposais alors les feuilles sur le lit.

- Je crois qu'on a du lire tout ce qui concernait ce genre de légende à la bibliothèque. On ne trouvera rien de nouveau de ce côté la. Mais... je viens de penser à quelque chose. Il me reste une sorte de carte d'étudiante qui me permettait d'obtenir pas mal de renseignements. J'ai arrêté mes études de droit l'année dernière mais, elle pourrait encore me donner accès à des archives de la ville. Il suffira de leur dire que je prépare une thèse. Je pense que ça peut fonctionner. Je me renseignerai alors sur les autres meurtres qui ont été commit, et on pourrait peut être même aller parler à des familles de victime. Histoire de savoir ce qu'ils en pensent...

Je lui souris alors. Avec ça on pouvait déjà avancer un peu.

- Je peux aussi nous obtenir un rendez vous avec un agent de Forks si tu le souhaites... Oula, j'ai l'impression d'être une secrétaire, m'exclamais-je en souriant. Josh... Joshua il me semble. Je ne me rappelle plus vraiment son nom de famille, mais il est policier dans cette ville. Il doit savoir des choses sur cette enquête également. J'ai surement conservé son numéro quelque part. Je vais me replonger dans cette affaire. Je crois que le travail est un bon remède. Je vais aussi essayer de retourner à La Push et voir ce que je peux tirer des gens de cette réserve.

Un immense sourire aux lèvres je me tournais de nouveau vers lui.

-Au fond je ne suis pas si inutile, quoique ce serait si bête de conclure cette enquête bientôt, plaisantais-je. Tu souhaites savoir autre chose?

Après quelques secondes à réfléchir, un sourire illumina le visage de Shannon. Est-ce que ce que je lui avais dit lui avais rappelé un quelconque souvenir ? Je l’espérais, le moindre indice pourrais nous faire avancer dans nos recherches.

- Cullen! Mais oui bien sûr... je ne me souvenais plus vraiment où j'avais pu rencontrer ce nom. Je viens d'avoir enfin une illumination. Il me semble avoir lu une pancarte indiquant un Dr Cullen à l'hôpital de Forks. Oui... J’en suis certaine maintenant. J'ai totalement oublié le service dans lequel il travaille, mais ce nom n'étant pas des plus communs ici, je suppose qu'ils sont de la même famille.

- J’irais y faire un tour dans ce cas, afin de rencontrer ce dénommé Cullen. Et le plus tôt possible sera le mieux.

Il fallait absolument que j’aille voir ce dénommé Docteur Cullen dans ce cas ! Au plus, grâce à ce poste assez important, il devait connaître beaucoup de monde, et peut-être pourrait-il m’aiguiller lui aussi dans mes recherches. Il devait être le frère ou le père de Rose, ou quelque chose comme ça. Quoi qu’il en soit, je devais me rendre là bas le plus rapidement possible. Shannon regardait les photos de ces meurtres atroces. Comment pouvait-on être fou au point de tuer les gens de cette manière ? A ce point là, ce n’était même plus de la folie.

- La plupart des tueurs ont une façon bien précise d'agir. Ici, visiblement, tout le monde peut devenir une victime... Femmes, hommes, enfants, vieillards. Nous sommes tous concernés. Puis, les meurtres sont de plus en plus fréquents depuis quelques jours. Sortir en ville devient presque flippant. Ce ne peut pas être l'œuvre d'une seule personne.

En effet, vu le nombre de meurtres ces derniers temps, ils ne pouvaient être l’œuvre d’une seule personne, celle-ci se serait fait remarquer trop rapidement. Or, les assassins semblaient rapides et insaisissables. Ce serait un véritable coup si je pouvais être la personne qui les retrouvait ou du moins démantelait leurs réseaux. Rien que de penser à la reconnaissance et la gloire que cela pourrait m’apporter, et au poids que cela libérerait pour tous les habitants de la région, j’en frémissais déjà. Oui, je voulais le faire et le plus tôt serait le mieux. Ces photos étaient vraiment d’une horreur extrême.

- Tu as été voir les cadavres?! Enfin... je veux dire, tu as parlé aux légistes qui se chargent de ces affaires?! Je ne sais pas s'ils te diraient beaucoup de chose. Je pourrais toujours essayer d'user de mon charme sur l'un d'eux. Il est possible que quelque chose nous échappe. Il faudrait parvenir à comprendre comment on peut vider ces corps de tout leur sang. Peut-être qu'ils ont une explication un peu plus rationnelle que la notre. Les vampires expliqueraient ces meurtres, mais c'est tellement... improbable.

Si même Shannon se mettait à parler de vampires, je ne savais plus quoi penser. Ce genre de créature avait-il vraiment une chance d’exister ? Si on m’avait parlé de ce genre de chose avant que j’arrive ici, j’aurais éclaté de rire. Maintenant, j’étais un peu perdu.

- J’ai fais une demande d’autorisations pour aller observer les corps par moi-même. Dès qu’elle arrive, j’irais faire un tour, on n’est jamais mieux servi que par soi même. Et de toute façon, je suis la seule personne sur laquelle je t’autoriserais à jouer de tes charmes, je n’ai pas envie qu’il t’arrive quoi que ce soit.

Je me penchais vers elle et l’embrassait longuement. S’il lui arrivait quoi que ce soit, je pourrais m’en vouloir toute ma vie. Même si la simple idée d’observer un corps mort et vidé de son sang m’écœurait, je devais le faire pour le bien de l’enquête.

- Je crois qu'on a du lire tout ce qui concernait ce genre de légende à la bibliothèque. On ne trouvera rien de nouveau de ce côté la. Mais... je viens de penser à quelque chose. Il me reste une sorte de carte d'étudiante qui me permettait d'obtenir pas mal de renseignements. J'ai arrêté mes études de droit l'année dernière mais, elle pourrait encore me donner accès à des archives de la ville. Il suffira de leur dire que je prépare une thèse. Je pense que ça peut fonctionner. Je me renseignerai alors sur les autres meurtres qui ont été commit, et on pourrait peut être même allé parler à des familles de victime. Histoire de savoir ce qu'ils en pensent...

J’étais heureux qu’elle s’implique à fond dans l’enquête, même si je redoutais qu’il lui arrive quelque chose. Cela nous permettrait d’avancer considérablement … Et de passer beaucoup plus de temps ensemble, et là, rien de pourrait m’en empêcher. Elle me sourit, et je faillis lui sauter dessus. Heureusement, j’arrivais un minimum à me contrôler encore.

- Ce serait génial en effet !

Je peux aussi nous obtenir un rendez vous avec un agent de Forks si tu le souhaites... Oula, j'ai l'impression d'être une secrétaire, dit-elle en souriant. Josh... Joshua il me semble. Je ne me rappelle plus vraiment son nom de famille, mais il est policier dans cette ville. Il doit savoir des choses sur cette enquête également. J'ai surement conservé son numéro quelque part. Je vais me replonger dans cette affaire. Je crois que le travail est un bon remède. Je vais aussi essayer de retourner à La Push et voir ce que je peux tirer des gens de cette réserve.

Elle se tournait vers moi, un grand sourire aux lèvres et je m’assis à coté d’elle.

- Tu sais que tu es fantastique ?

- Au fond je ne suis pas si inutile, quoique ce soit si bête de conclure cette enquête bientôt. Tu souhaites savoir autre chose ?

- Oui, juste une chose.

Je la pris par la taille, plaquais son corps contre le mien et l’embrassais à nouveau langoureusement. J’aurais voulu aller plus loin, mais je ne voulais pas avoir l’air de ne penser qu’à ça, surtout par avec elle. Après avoir décollé mes lèvres des siennes, je posais mon front contre le sien.

- Je peux te poser une question ?

Elle acquiesça d’un signe de tête d’un signe de tête et je me levais, marchant à travers la pièce, cherchant mes mots, même si j’avais déjà un peu réfléchi à ce que je voulais lui dire. Dans les grandes lignes quoi.

- Quand nous en auront finis avec cette enquête, et qu’il faudra que je rentre à New-York, tu viendrais passer quelques jours avec moi là-bas ?

Ok, dit comme ça, ça faisait peur.

- Juste … en amis. Enfin comme tu veux d’ailleurs. Et puis si ça ne va pas tu pourras toujours repartir.

Un petit sourire aux lèvres, je revins m’asseoir à coté d’elle et m’allongeais de tout mon long sur le canapé, les mains derrière la tête.

- Pourquoi est-ce que tout est toujours aussi … compliqué ?

HJ : RP pourri, vous avez dit RP pourri ? J’suis trop nul là -.-

( Bradley Scott ne fait jamais de mauvais RP voyons x) nan il est bien ^^ moi par contre ça va pas être du top attention les yeux xD)

- Oui, juste une chose.

- Tout ce que tu veux, murmurais-je avant qu'il ne me prenne par la taille pour me rapprocher un peu plus de lui.

La proximité de nos deux corps était plus que plaisante. J'aimais sentir la chaleur émanant de lui réchauffer délicatement ma peau. Il m'embrassa plus longuement et plus intensément que précédemment. J'aurais aimé ne jamais mettre un terme à ce baiser à vrai dire.C'est d'ailleurs lui qui dut y mettre un terme, à mon plus grand regret.

Il posa son front contre le mien, je ne pus m'empêcher de sourire tout en plongeant mon regard dans le sien. Il n'y avait aucun doute, il savait exactement comment charmer une femme. Toutes les filles du pays étaient à ses pieds, et au fond c'était compréhensible. Toutefois, je me refusais de me transformer en une de ces folles, hystériques qu'il côtoyait tous les jours.. Puis, cela ne me ressemblait pas vraiment..

- Je peux te poser une question ?

Je me contentais d'acquiescer. Il se leva alors et fit les cent pas dans la pièce. Je commençais légèrement à stresser d'ailleurs. Que pouvait-il bien me demander?!

- Quand nous en auront finis avec cette enquête, et qu’il faudra que je rentre à New-York, tu viendrais passer quelques jours avec moi là-bas ?

Je restais totalement muette. Je ne m'attendais pas vraiment à ça. Certainement d'ailleurs, je dus faire une tête plus qu'étrange, puisqu'il enchaina, comme pour me rassurer.

- Juste … en amis. Enfin comme tu veux d’ailleurs. Et puis si ça ne va pas tu pourras toujours repartir.

Ami?! Je n'étais pas sûre que Bess apprécie que son fiancé ait une grande blonde comme amie à vrai dire.

Parle... dis un truc quoi.. Après tout t'as bien été passé un week end avec un mec que tu connaissais depuis deux jours à LA non?! Mais qu'est ce qui m'avait prit d'accepter l'invitation de Chuck d'ailleurs?! Il voulait passer pour un hétéro.. bah bravo, je m'étais fait avoir en beauté... Je regardais alors Bradley. Non.. lui ne me semblait pas gay quand même, pour mon plus grand bonheur d'ailleurs, il appréciait les femmes ouf!

-Pourquoi est-ce que tout est toujours aussi … compliqué ?

Un petit sourire aux lèvres, il revient s'allonger à mes côtés, les
mains derrière la tête.

Compliqué... oui, il fallait bien l'avouer.

-Peut être que si la vie n'était pas si compliquée, elle serait dénuée
de tout intérêt?! On s'ennuierait beaucoup trop...

Je finis par m'allonger également, m'appuyant sur mon coude. Une fois de plus l'appel de ses lèvres était si fort que je ne pus résister à l'envie de l'embrasser.

- Et pour répondre à ta question... euh.. oui pourquoi pas?! Après tout, lorsque j'ai accepté de t'aider, tu m'as promit un dîner dans un excellent restaurant et un verre de champagne, si nous parvenions à terminer cette enquête. Et tu as de la chance, je connais justement de très bons restaurants à New York. Il faudra juste que j'évite les coups de Bess, plaisantais-je. Et, le premier paparazzi qui m'approche, je l'assomme... attention à ton image, continuais-je en lui souriant.

Je tirais légèrement sur son bras pour le faire assoir sur le lit. Une fois ceci fait, je me plaçais derrière son dos, déposais mes mains sur ses épaules et le massais doucement.

-Tu dois boucler ce reportage dans combien de temps déjà?! demandais-je alors.

Je savais qu'il ne lui restait certainement plus beaucoup de temps à passer ici. Et il était vrai, que New York était mille fois plus attirante comme ville que Forks. Là bas on trouvait absolument tout, on ne pouvait s'y ennuyer. Il devait mourir d'envie de retourner à sa vie là bas, mais j'avais un léger pincement au coeur. J'aimais travailler avec lui, discuter avec lui aussi. L'embrasser à l'occasion x)

Je posais un baiser sur son cou avant d'approcher mes lèvres de son oreille droite.

- Vous allez me manquer Monsieur l'inspecteur. Je ferai mon possible pour te trouver des sujet louches à couvrir dans la région, dis-je en riant, avant de continuer mes massages.

Dans la région... même si je n'étais pas encore certaine de rester ici. Fuir n'était pas une des solutions les plus brillantes dont j'avais eut l'idée, mais disons, que je n'avais pas vraiment le choix.

- Alors, entre .. amis, que comptes-tu me faire visiter à New York que je n'ai pas déjà vu?!

- Peut être que si la vie n'était pas si compliquée, elle serait dénuée
de tout intérêt?! On s'ennuierait beaucoup trop...

Elle n’avait pas tort. Je faisais le métier que j’exerçais pour des raisons bien précises : j’aimais prendre des risques, et voir quelles étaient mes limites, et voir ce que les gens pouvaient penser de moi, savoir s’ils pouvaient me suivre quoi que je fasse. Il y avait une part de surprise, de je-ne-sais-quoi qui m’attirait dans le risque. Quitte à déplaire parfois. Même si pour l’instant, j’avais été plutôt chanceux de ce coté là.

- Et pour répondre à ta question... euh... oui pourquoi pas?! Après tout, lorsque j'ai accepté de t'aider, tu m'as promit un dîner dans un excellent restaurant et un verre de champagne, si nous parvenions à terminer cette enquête. Et tu as de la chance, je connais justement de très bons restaurants à New York. Il faudra juste que j'évite les coups de Bess. Et, le premier paparazzi qui m'approche, je l'assomme... attention à ton image.

- Va pour le grand restaurant français ! Je demanderais à mon agent de nous réserver une table dès que nous en auront terminés avec cette enquête. J’ai toujours une très bonne table chez Alain Ducasse.

En souriant, elle tira sur mon bras, un regard sexy aux lèvres, pour m’obliger à m’asseoir sur le grand lit blanc. Une fois que je fus assis, elle vint derrière fois, posa ses mains sur mes épaules et commença à me masser tendrement le buste et la nuque. Je devais avouer que c’était on ne peut plus érotique comme situation … On aurait dit qu’elle savait exactement quoi faire et à quel moment pour me faire frémir. Elle était formidable.

- Tu dois boucler ce reportage dans combien de temps déjà ?

Hum, that’s the bad question. Officiellement peu de temps, même si j’avais toujours deux ou trois semaines de secours au cas où j’étais loin d’avoir toutes les images qu’il me fallait. Ce que j’avais pour l’instant était largement suffisant pour un simple reportage de télévision : j’avais une bonne quantité d’images, différentes origines possibles pour ces meurtres et des trucs qui ressemblaient presque à des preuves pour chacune de ces hypothèses. Mais pour cette enquête-là, je voulais aller encore plus loin et découvrir le fin fond de cette histoire. Pas seulement pour rester encore un peu plus avec Shannon, même si elle était une raison tout à fait valable de vouloir passer plus de temps ici. Non, cette histoire m’intriguait au plus haut point, et ma curiosité m’empêcherait de partir d’ici l’esprit tranquille sans avoir le fin mot de l’histoire.

- Disons … Un mois je pense ?

La demoiselle m’embrassa délicieusement dans le cou avant de chuchoter à mon oreille :

- Vous allez me manquer Monsieur l'inspecteur. Je ferai mon possible pour te trouver des sujets louches à couvrir dans la région.

Je ris alors qu’elle continuait ses massages. J’approchais son visage du mien en posant une main sur sa nuque et l’embrassait longuement. Rien que pour elle, j’aurais voulu que cette mission ne s’arrête jamais. Je savais déjà que je ne pourrais me lasser de ses baisers, de ses caresses et autres massages … Aucune femme ne m’avait jamais fait frémir à ce point de ton mon corps.

- Et bien sur, dans mon grand professionnalisme reconnu de tous, je m’empresserais d’accourir ici pour mettre toutes ces affaires au clair et sauver la charmante demoiselle en détresse du grand méchant loup et du grand méchant dragon.

Je retirais ses mains de mes épaules et l’obligeais à s’asseoir devant moi afin de la masser à mon tour. Je déposais moi aussi un baiser dans le creux de son cou et posais mes mains doucement sur sa nuque.

- Alors, entre... Amis, que comptes-tu me faire visiter à New York que je n'ai pas déjà vu?!

C’était une très bonne question. Il y avait à mon avis peu de choses connues et reconnues à new-York qu’elle n’ait déjà vu. C’était une jeune femme cultivée qui avait été élevée dans un milieu où on lui avait appris à aimer les bonnes et les belles choses. Non, je devais trouver encore d’autres lieux pour la surprendre qu’un simple musée ou un simple grand restaurant. J’appuyais un peu plus fort mes mains sur sa nuque et commençais à la masser.

- Et bien … Je commencerai, Mademoiselle Sullivan, par vous emmener dans Brooklyn et dans le Bronx, les deux quartiers les plus mal famés de New-York, mais aussi les plus magiques selon moi. Je vous emmènerai dans des pizzerias, au fond de ruelles sombres et effrayantes, mais qui ont les meilleures recettes de la ville. Je vous trainerai dans une salle de spectacle du Bronx où même vous Mademoiselle Sullivan vous n’avez jamais mis les pieds. Je le sais puisque j’en suis secrètement le propriétaire.

Je continuais de la masser tendrement, déposais des baisers dans son cou, et glissant mes mains de plus en plus bas vers sa poitrine. Je continuais en chuchotant :

- Puis je vous emmènerai en plein été sur la plage de Brooklyn. Pas à n’importe quelle heure, pas à celle prisée par les touristes. Non, à cinq heures du matin, quand il n’y a personne, quand le soleil commence tout juste à se lever et qu’on peut apercevoir des dauphins tout au loin, vers l’horizon.

Je descendis encore un peu plus bas mes mains, et souris. Sa peau était douce, et lisse comme pas deux. Je déposais encore un baiser entre ses deux omoplates.

- Le soir, je vous emmènerai voir un match des Yankees, mais pas de n’ importe où : depuis le tunnel par où rentre les joueurs. Là où, dans la pénombre, ces grosses brutes épaisses redeviennent des hommes avant d’entrer dans l’arène.

Je caressais délicatement d’une main ses longs cheveux blonds soyeux. J’aurais rester voulu rester comme cela des heures et des heures.

- Et bien sûr, je vous emmènerai dans la cava à Vin la plus prestigieuse de New-York afin de vous offrir le cru qu’il vous plaira, même si je ne doute pas que vous puissiez vous les offrir vous-même … Celui-là aurait une valeur … Sentimentale.

D’une geste habile de la main, je dégrafais son soutien-gorge sous son top. De mon autre main, je caressais sa poitrine désormais libre.

- Le programme vous satisfait-il Mademoiselle Sullivan ?

(je poste now because je sais pas si tu pars demain enfin aujourd'hui Oo xD et faudrait que tu puisses lire ton viol quoi, oui j'avais envie de te violer xD je vais être experte en posts erotiques xD *sort* )


Il vient déposer un baiser au creux de mon cou, puis, posa à son tour ses mains sur ma nuque et commença à me masser. Je devais avouer que c'était très plaisant. Plus que plaisant même. J'étais maintenant totalement détendue. Il n'avait pas besoin de faire quoique se soit d'autre pour me faire totalement chavirer. C'était bon de ne plus penser à rien l'espace de quelques minutes. De se concentrer uniquement sur le mouvement de ses mains et sur son souffle sur ma peau.

- Et bien … Je commencerai, Mademoiselle Sullivan, par vous emmener dans Brooklyn et dans le Bronx, les deux quartiers les plus mal famés de New-York, mais aussi les plus magiques selon moi. Je vous emmènerai dans des pizzerias, au fond de ruelles sombres et effrayantes, mais qui ont les meilleures recettes de la ville. Je vous trainerai dans une salle de spectacle du Bronx où même vous Mademoiselle Sullivan vous n’avez jamais mis les pieds. Je le sais puisque j’en suis secrètement le propriétaire.

Il continua délicatement son massage tout en déposant de temps à autre d'autres baisers sur mon cou.

- Puis je vous emmènerai en plein été sur la plage de Brooklyn. Pas à n’importe quelle heure, pas à celle prisée par les touristes. Non, à cinq heures du matin, quand il n’y a personne, quand le soleil commence tout juste à se lever et qu’on peut apercevoir des dauphins tout au loin, vers l’horizon.

Hum très bon programme. A New York j'avais étudié, et travaillé. Je n'avais pas vraiment eut le temps de voir ces choses. Quoiqu'il en soit ses paroles me donnaient véritablement envie de découvrir tout cela. Et ses massages me donnaient de toutes autres envies, mais je restais toutefois très calme, à mon plus grand étonnement.

Ses mains descendirent plus bas dans mon dos et il finit une fois de plus par déposer un baiser entre mes deux omoplates ce qui me fit frissonner.

- Le soir, je vous emmènerai voir un match des Yankees, mais pas de n’ importe où : depuis le tunnel par où rentre les joueurs. Là où, dans la pénombre, ces grosses brutes épaisses redeviennent des hommes avant d’entrer dans l’arène.

Il passa sa main dans mes cheveux et je ne pus m'empêcher de sourire. Il était d'une douceur incroyable. Pourquoi fallait-il que le temps passe si vite?! et pourquoi fallait-il aussi que notre pays soit si vaste?! Je savais que je regretterai chacune de ses caresses lorsqu'il repartirait.

- Et bien sûr, je vous emmènerai dans la cava à Vin la plus prestigieuse de New-York afin de vous offrir le cru qu’il vous plaira, même si je ne doute pas que vous puissiez vous les offrir vous-même … Celui-là aurait une valeur … Sentimentale.

D'un geste assez habile, il dégrafa mon soutien gorge et caressa doucement mes seins. Mon coeur se mit à battre la chamade contre ma poitrine. J'eus presque l'impression qu'elle allait exploser. Dieu que c'était bon de sentir ses mains parcourir mon corps.

- Le programme vous satisfait-il Mademoiselle Sullivan ?

Je me tournais pour me trouver enfin face à lui. Il paraissait encore plus sexy après avoir dit tout ça, ou bien j'étais totalement en train de dérailler, ce qui était fort possible.

-Vous êtes un grand charmeur Monsieur Scott, et ce programme me plaît beaucoup.

Mes lèvres vinrent se coller aux siennes mais cette fois ci, je ne parvenais plus à arrêter mes baisers. Prenant mon courage à deux mains ( parce que oui, il faut du courage pour se détacher de ses lèvres si délicieuses xD), je le regardais droit dans les yeux tout en déboutonnant sa chemise doucement, tout doucement, un sourire coquin se dessinant sur mes lèvres. Au diable Tay, au diable les quelques bleus qu'ils me restaient encore sur le corps, je voulais le sentir tout contre moi, et le reste n'avait plus aucune importance à mes yeux. Toute ma concentration se portait sur lui et uniquement lui. Un séisme aurait pu se produire, je ne l'aurais certainement pas senti.

Une fois sa chemise retirait, je le repoussai doucement afin de l'allonger. En plus d'admirer son corps parfait ( ) je m'amusais parcourir son torse de baisers enflammés jusqu'à parvenir à la fermeture éclair de son pantalon que je fis glisser délicatement. Il me retourna alors et finit par prendre le dessus sur moi ce qui me fit rire. Je posais une main tendre sur sa joue avant de l'embrasser une fois de plus. Décidément, je ne m'en lasserai jamais.

Je retirais mon haut ( saloperie de tissus xD). Il laissa alors ses lèvres glisser sur mon cou, puis sur ma poitrine. Ma respiration s'accélérait, c'était bon, doux, passionnel, parfait. Il retira les derniers vêtements que je portais encore ( et qui dans cette situation étaient parfaitement inutiles xD) et je fis de même avec lui. Sur le coup de l'excitation, mes jambes s'enroulèrent autour de ses hanches comme pour le coller un peu plus contre moi. Je l'embrassais encore plus fougueusement. Il n'imaginait certainement pas l'effet qu'il avait sur moi, là, tout de suite.

Il me pénétra alors, doucement ce qui m'arracha un gémissement de plaisir. Tout en le regardant droit dans les yeux, nos corps ne firent plus qu'un l'espace de quelques minutes, et bougeaient au même rythme. L'osmose parfaite. Le rythme se fit de plus en plus soutenu, et de nouveaux gémissements s'échappèrent de ma gorge.

Mon corps était la proie cette fois ci d'une bouffée de chaleur qui vint teinter mes joues d'un léger rose. Mes mains vinrent se perdre sur son dos, mes lèvres sur les siennes, tandis qu'il continuait ses mouvements lents, puis plus rapides. Des spasmes vinrent parcoururent chacun de mes membres. Une vague de plaisir indescriptible me submergea.

Il se laissa retomber doucement à mes côtés et je vins poser mon visage contre son torse.

- Vous allez finir par me rendre totalement folle Mr Scott.. dis-je en souriant avant de déposer quelques baisers sur ses pectoraux délicatement dessinés (*bave x)* )

Je relevais légèrement la tête pour pouvoir apercevoir son visage et passais lentement la main dans ses cheveux tout en continuant de sourire. Satisfaite peut être.. ou tout simplement bien..

J'entendis alors mon téléphone sonner. Sans quitter ma place, je tendis le bras pour le saisir. Le message que je venais de recevoir m'inquiéta tout de suite.

Elle stoppa ses massages pour venir s’asseoir en face de moi. Mon Dieu qu’elle était sexy. Je me demandais d’ailleurs ce que je faisais encore là à la contempler au lieu de l’embrasser et de la prendre dans mes bras. Soit j’étais idiot, soit je souffrais d’une déficience mental pour ne pas lui sauter dessus immédiatement.

-Vous êtes un grand charmeur Monsieur Scott, et ce programme me plaît beaucoup.

J’aimais quand elle m’appelait Monsieur Scott. Je trouvais ça sexy, sensuel, tout ce qu’on voulait. Et si le programme lui plaisait, c’était un bon point pour moi. Avant que j’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, elle avait déjà collé ses lèvres contre les miennes. Ses baisers se faisaient de plus en plus longs, de plus en plus langoureux, de plus en plus pressants. Je l’entourais de mes bras alors qu’elle commençait déjà à détacher un à un les boutons de ma chemise. A cette vitesse là, je n’allais plus être habillé très longtemps. Elle non plus d’ailleurs. Un sourire très très coquin s’affichait désormais sur ses lèvres et me donnait des idées pas catholiques du tout. De toute façon, au diable les idées catholiques quand on avait une femme aussi désirable sous les yeux. Je préférais largement vivre dans le péché. Elle me poussa doucement sur le lit et je me retrouvais allongé, totalement à sa merci. Cette position de dominé me plaisait. J’avais totalement confiance en Shannon et en ses charmes. Elle me retirait entièrement ma chemise en embrassa mon torse de tout son long jusqu’à mon pantalon. Elle ouvrit délicatement la fermeture éclair et me retira mon vêtement. Je n’avais déjà plus sur moi que mon caleçon pour cacher mon sexe dressé par l’excitation et par le désir qu’elle me procurait. Je décidais alors de prendre le dessus et la retournais pour me placer au dessus d’elle. Mes lèvres ne quittaient plus les siennes, j’étais complètement ailleurs encore une fois. Cette fille me rendait complètement fou. Elle retira précipitamment son haut et je délaissais ses lèvres pour laisser mes lèvres s’abandonner sur son cou puis sur sa poitrine si douce. Quelques secondes plus tard, nous étions tous les deux complètement nus, nos deux corps collés l’un contre l’autre. Elle enroula ses hanches autour de moi et je la pénétrais immédiatement, n’attendant plus que ça. Ce geste lui arracha un gémissement, et je commençais mes va-et-vient, accélérant le rythme. Mes mouvements lui procurèrent encore de nouveaux gémissements. Nos deux corps l’un contre l’autre bougeaient en même temps, frôlant l’osmose. Les ongles de Shannon sur ma peau, ses lèvres sur les miennes m’indiquaient qu’elle prenait encore plus de plaisir que la dernière fois. Pour ma part, j’étais complètement ailleurs, comme dans une dimension parallèle où ne comptait plus que notre plaisir à deux.

Après de longues minutes à jouir ensemble, je me retirais et me laissais tomber à coté d’elle, haletant. J’aurais voulu rester collé contre elle encore et encore. Shannon vint poser son visage contre mon torse, mon cœur continuant de battre la chamade.

- Vous allez finir par me rendre totalement folle Mr Scott.. dit-elle avant d’embrasser mon torse.

- Je suis sincèrement désolé Mademoiselle Sullivan, dis-je en riant. Mais je ne suis qu’un homme, pauvre de moi, et je ne suis rien devant une femme tel que vous …

Elle me regarda en souriant avant de poser sa main dans mes cheveux. Son portable sonna. Qui cela pouvait-il être ? Je ne le savais pas, mais bizarrement, j’en voulais déjà à cette personne de nous avoir dérangé dans ce moment de bonheur intense. Au visage de mon amante, je compris tout de suite que ce message n’était pas rassurant.

- Que se passe-t-il ?

Je me relevais doucement, la tenant toujours contre moi. Je n’arrivais pas à la lâcher en fait.

[HJ : désolé je fais pas beaucoup avancer le schmilblick mais je sais pas si tu veux vraiment me le dire en fait :s Et encore désolé pour le retard, mais j’ai la tête carrément ailleurs, la situation a empiré par rapport à ce que je t’ai dit dimanche … Bref, tout va bien -.- Bisous bisous <3]

( it's not grave pour le retard. I understand <3 )

Ashley n'aurait pas écrit un message comme celui ci.. ça ne pouvait donc être que... que Taylor. Je relisais plusieurs fois ce message. Je me sentais soudainement en danger, sans véritablement savoir pourquoi. S'il l'avait retrouvé alors que je l'avais quitté quelques heures, s'il l'avait brutalisé ou pire encore, je ne pourrais pas me le pardonner.

Bradley se releva légèrement sans toutefois me lâcher. Bizarrement dans ses bras, je me sentais un peu plus rassurée.

- Que se passe-t-il ?

Hors de question que je lui dise quoique se soit.Je ne voulais pas l'entrainer la dedans. Pas lui. Je tentais alors de garder un visage plutôt neutre. au fond, j'étais totalement affolée, me demandant ce qu'il avait pu lui faire.

-Ash.. Ashley doit avoir un problème visiblement..

Je lui fis un sourire forcé, mais qui, je l'espérais, le rassurerait.

-Je ne peux pas la laisser. Elle a besoin de moi, je suis désolée, m'excusais-je sincèrement.

D'une main je rattrapais mes sous vêtements qui étaient tombés au pied du lit, et avec regret je dus me décoller de lui. Pourquoi fallait-il toujours que quelque chose d'atroce arrive lorsque j'étais en sa compagnie? Juste un peu plus de temps avec lui sans aucun problème c'était trop demandé?!

Je me relevais et enfilais le reste de mes vêtements avant de me pencher vers lui pour atteindre ses lèvres.

Je posais une main douce sur sa joue avant de lui faire de nouveau un sourire rassurant. Je ne souhaitais pas qu'il s'inquiète, ce n'était pas la peine.

- J'aime passer du temps avec toi, murmurais-je. Je ne m'enfuis pas, d'ailleurs je ne pourrais pas te fuir... c'est surement une urgence, je dois aller vérifier... je suis vraiment désolée, rajoutais-je en déposant un dernier baiser sur ses lèvres.

Je rattrapais mon sac et quittais cet hôtel tout en répondant au message, sachant très bien que Tay le recevrait.